Retour Communiqué de presse FnTC
Publilégal : des marques historiques au service de la confiance numérique
Publilegal fête ses 176 ans d’existence mais vit bel et bien dans son époque. Le groupe, qui comprend également les marques Immolegal et Papeterie financière, fait figure de pionnier de la dématérialisation dans la consultation publique, les registres légaux de sociétés et les procédures de ventes judiciaires. « Publilegal a su, au fil du temps, innover et adapter ses services en fonction des nouveaux besoins« , raconte Aymeric Defrance, son président.
« Publilegal développe des solutions de confiance en société, mais aussi des services pour ’faire société ensemble’ », explique Maximilien Clayton, directeur général. Avec Aymeric Defrance, président, les deux dirigeants construisent un groupe composé de marques enracinées dans l’histoire, dont les activités conjuguent physique et digital pour allier le meilleur des deux mondes.
Sur la consultation citoyenne, la société Publilegal, créée en 1846, est le spécialiste de la publication et de la diffusion de vos obligations légales partout en France. Publilégal accompagne les les sociétés, les administrations, les grands donneurs d’ordres, dans le respect de leurs obligations en matière de publicité légale d’l enquêtes publiques, , de concertations et toutes autres obligations légales. « Nous répondons à une obligation réglementaire avec des registres numériques, non modifiables et à forte valeur en termes de traçabilité, mais il y a aussi une partie physique, avec de l’affichage et des registres papiers contrôlés par des tiers habitlités», détaille Maximilien Clayton.
Publilegal répond également aux besoins des collectives locales en termes de consultation volontaire, notamment avec Consultvox, qui déploie des plateformes participatives véritables « boîtes à outils » de participation citoyenne. Ou des affiches tactiles et connectées.
La diffusion publique d’informations est également au cœur de l’activité d’Immolegal, spécialiste des ventes judiciaires immobilières. « Des cabinets d’avocat font appels à notre expertise pour répondre aux obligations réglementaires, de l’inscription d’hypothèque à la vente aux enchères, notamment sur Vench.fr, le premier portail de ventes immobilières judiciaires et notariales aux enchères qui diffuse l’ensemble des annonces sur le marché, en passant par l’obligation de publicité de la vente, via une annonce légale », explique Maximilien Clayton. « Nous faisons figure de pionniers sur la dématérialisation de ces métiers. Nous accompagnons les clients dans les différentes évolutions réglementaires depuis 2006, avec des outils intégrés à leur flux métier ».
Cet accompagnement à la digitalisation est aussi présent au sein de la Papeterie financière, l’autre marque historique du groupe. Fondée en 1932, la société domine depuis près d’un siècle le secteur de la papeterie spécialisée dans le droit des sociétés, avec des registres, reliures, imprimés et documents légaux. Mais elle propose également avec PF Registres, une solution de dématérialisation des registres juridiques et sociaux des sociétés (Assemblées générales, les mouvements de titres, personnel…) et avec Protexa, un outil de gestion digitale des registres immobiliers.
Toutes les activités digitales de Publilegal, qui emploie 45 personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 7 millions d’euros, reposent un socle numérique : des registres liés à la blockchain, pour des données scellées numériquement avec un certificat de traçabilité et une empreinte immuable. Une utilisation de la technologie qui justifie l’intérêt de la société pour le groupe de travail sur la Blockchain de la Fédération des Tiers de Confiance du numérique. « Mais les groupes sur la signature et l’archivage électroniques, des outils que nous utilisons de plus en plus, nous intéressent également », décrit Maximilien Clayton.
L’objectif de Publilegal : 10 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2025. « En restant dans nos métiers, dans notre savoir-faire ; nous visons une croissance organique, et pourquoi pas externe, mais en nous concentrant sur notre expertise : le droit des sociétés, les ventes judiciaires et les consultations publiques », explique Maximilien Clayton. « Après une phase de consolidation, le groupe a atteint une phase de maturité, notamment dans les solutions numériques offertes. Il y a aujourd’hui une vraie demande, le marché est prêt, et nous devons y répondre ».